Chez PECHE SUD, nous avons un grand choix de leurres de SLOW jig en différente taille, action et couleurs. Ils sont inspirés des meilleurs jigs japonais mais à des prix plus raisonnables. Habituellement conçus pour la pêche en eau salée, certains petits jigs peuvent être utilisés en eau douce pour la truite grise. Les journées chaudes d'été sont spécialement propices à cette technique, les truites grises (lake trout) étant regroupées dans le fond (zone de confort), le slow jig devient le seul moyen de les atteindre facilement. Les fortes vibrations dégagées par le slow jig déclenchera automatique l'attaque des prédateurs. Le jig sera envoyé vers le fond et animer avec un long pitch suivi d'un long fall, les truites ne peuvent pas résister à l'action vibrante du slow jig. Pas un leurre sur le marché ne peut générer une action d'oscillation tout seul. Le slow jig oscillera lorsqu'il tombe librement.
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Le leurre de SLOW jig ça fonctionne ! Ce type de leurre de jigging est né d’un pur hasard. Alors que Nirohiro décrochait le poisson d’un de ses collèges, il avait laissé sa canne de « jigging » dans le porte canne avec le jig dans le fond. En revenant à sa position, il ressaisit sa canne et s’aperçoit qu’un poisson était au bout de la ligne. Le fait que la mer était un peu agité, le mouvement du bateau avait suffi à animer le jig pour réussir à attirer un poisson vers son leurre. L’idée lui est venu par la suite de pêcher de cette façon, c’est-à-dire de laisser le leurre dans le fond et l’animer par petite saccade. C’est un peu plus tard que les jig de type « slow » sont arrivés. L’idée est d’avoir un leurre qui descendrait plus lentement et qui génère un peu plus d’action qu’un leurre qui descend en ligne droite. Pourquoi ne pas créer un jig avec poids centré afin que ce dernier tombe à plat avec un mouvement horizontal et qui glisserai avec une trajectoire moins symétrique. Un leurre qui virevoltent possédant un mouvement plus erratic.
On a aussi observé que les poissons attaquaient le jig lors de la descente, l’utilisation d’un montage « speed jigging » avec un seul hameçon près de l’œil, ne permettait d’accrocher tous les poissons, vu que l’hameçon venait se placer en haut du jig, les prises se faisait la plupart du temps lors de la remonté. Alors, pourquoi ne pas ajouter des hameçons à la queue et à la tête du jig, ainsi lorsque le jig descend on aurait plus de point d’accrochage. Dès lors qu’un poisson toucherai le jig, il sera presque automatiquement accroché. Vu que les jigs de type SLOW ont plus d’emprises dans le courant, il faut avoir le moins de friction possible entre le fils et le courant. Si on veut compenser la dérive et garder une descente verticale, le fils se doit être le plus FIN possible.
Le SLOW jigging se défini comme une pêche de finesse, attraper des poissons avec du matériel léger et fournir un minimum d’effort physique. Non seulement, on ne meurt pas d’épuisement, mais on attrape plus de poissons lors de la descente. Mais encore, toutes les espèces deviennent la cible de cette nouvelle technique. Généralement, les Slow « jiggers » vont aller vers des montages en fils PE 1-2 (8 brins) avec des jigs entre 120 – 250grams. Les mouvements de saccade sont remplacés par des mouvements plus gracieux et plus lent. On veut attraper les poissons par le mouvement naturel du jigs et non par l’animation forcé de ce dernier. Contrairement au « Speed jigging » où le jig est descendu en ligne droite vers le fond et ramené par saccade rapide vers la surface. Ici, on veut prendre le temps de travailler le fond, laisser au poisson le temps d’observer, susciter la curiosité avant l’attaque. Il faut travailler le fond !
Leurre Slow jigging
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